Nos demandes

Aux acteurs financiers

  • Stopper tout financement de TotalEnergies pour de nouveaux projets d’exploration ou d’exploitation d’énergies fossiles

  • Rejoindre le mouvement mondial de désinvestissement des combustibles fossiles

Nos demandes

A TotalEnergie

  • Reconnaître son rôle ainsi que sa responsabilité passée et présente dans le changement climatique et participer à des discussions constructives pour y mettre fin.

  • Mettre immédiatement toutes ses ressources à disposition dans la transition énergétique de ses activités, en réorientant massivement ces investissements vers les énergies renouvelables. 

  • Abandon de tout nouveau projet d’exploration et d’exploitation d’énergies fossiles dans le monde. 

Nos demandes

Aux pouvoirs publics français. 

Faire toute la lumière sur la responsabilité climatique passée et présente de TotalEnergies en convoquant une commission d’enquête parlementaire qui permettrait de :

  • Ouvrir les archives de Total et d’autres entreprises du secteur fossile et automobile pour connaître l’état de leurs connaissances scientifiques du dérèglement climatique depuis 50 ans afin de pleinement comprendre l’étendue de la perte de chance que l’humanité et la planète subissent en raison des actions passées et présentes de TotalEnergie et co.

  • Faire la lumière sur les connaissances et la participation de l'État français.

  • Mettre en place un fonds de dédommagement en France pour les dommages liés au changement climatique; engager la France dans des discussions internationales pour faire aboutir un tel fonds à ce niveau;

  • Obliger Total à participer à des fonds de dédommagement des dommages liés au changement climatique à hauteur de sa contribution actuelle au changement climatique (1% des GES);

  • Obliger Total à augmenter la part de sa participation aux fonds de dédommagement en fonction de l’importance de sa responsabilité dans la perte de chance de lutter en temps et en heure contre le changement climatique. 

Garantir l’application effective de la loi française sur le devoir de vigilance et la renforcer en : 

  • Donnant compétence aux tribunaux judiciaires dans les affaires relevant de la loi sur le devoir de vigilance, au sein du projet de loi Confiance dans l’institution judiciaire actuellement débattu au Parlement ;

  • Réglementer les entreprises multinationales en les obligeant à limiter le réchauffement climatique à 1,5°C. ;

  • Publiant annuellement la liste des entreprises soumises à la loi ; 

  • Désignant une administration en charge du suivi de la mise en œuvre de la loi, qui garantisse un accès centralisé aux plans de vigilance des entreprises ; 

  • Abaissant les seuils pour inclure davantage d’entreprises opérant dans des secteurs à risque en matière de violations des droits humains et de l’environnement d’une part, et en inversant la charge de la preuve d’autre part.

Soutenir l’internationalisation du devoir de vigilance des multinationales en :

  • Apportant un soutien proactif et constructif au projet de traité sur les multinationales et les droits humains actuellement négociés aux Nations unies, et en assurant l’application de ces nouveaux instruments en matière climatique ; 

  • Œuvrant, au sein de l’Union européenne, à une adhésion au processus et à une contribution ambitieuse de l’Union Européenne au projet de traité ; 

  • Œuvrant à l’adoption d’une législation européenne contraignante et ambitieuse en matière de vigilance des multinationales.